La joie de faire connaître l’Évangile

Jose L. Alonso, des soixante-dix
Jose L. Alonso, des soixante-dix

En 2013, lors la diffusion mondiale sur l’œuvre du salut, le président Monson a déclaré : « Le moment est maintenant venu pour les membres et les missionnaires de s’unir, d’œuvrer ensemble, de travailler dans la vigne du Seigneur pour lui amener des âmes. Il a préparé la voie pour que nous fassions connaître l’Évangile d’une multitude de façons et il nous aidera dans notre tâche si nous agissons avec foi pour accomplir son œuvre. »

Cela me réjouit d’entendre les paroles du président Monson parce qu’il ne se contente pas d’inviter les membres et les missionnaires à être unis, mais il nous parle de promesses qui nous sont faites. L’une de ces promesses est que le Seigneur a préparé la voie, et l’autre promesse est qu’il nous aidera si nous nous efforçons de faire connaître l’Évangile avec foi. Ces promesses venant du prophète sont merveilleuses !

Dans la parabole de la brebis perdue relatée dans Luc 15:4-6, le Sauveur enseigne certains principes qui m’ont aidé à participer plus activement à l’œuvre missionnaire. Je sais que ces principes sont efficaces et qu’ils apportent une joie immense. Les voici :

  1. Identifier
  2. Chercher jusqu’à ce que nous trouvions
  3. Inviter
  4. Aider
  5. Demander aux autres de s’impliquer
  6. Ressentir de la joie en les aidant à recevoir les ordonnances salvatrices

Identifier :
Ce principe peut être mis en pratique de nombreuses façons, l’une est de faire la liste de tous ses amis, voisins et parents que nous connaissons qui ne sont pas encore membres de l’Église. Puis posons-nous cette question : « Laquelle de ces personnes serait la plus réceptive et aurait le plus besoin du message de l’Évangile de Jésus-Christ ? ». Notre liste peut être longue, mais, sous l’influence de l’Esprit, nous pouvons n’écrire que quelques noms.

Chercher jusqu’à ce que nous trouvions :
Il arrive souvent que le nom qui nous vient à l’esprit est celui d’une personne que nous n’avons pas vue depuis longtemps ou qui habite loin. Souvenons-nous que si l’impression est très forte, il sera nécessaire de faire ce que le Seigneur a fait : la chercher jusqu’à ce que nous la trouvions. Souvenons-nous qu’en mettant en pratique ces principes, beaucoup de nos connaissances pourront recevoir des bénédictions. Agissons en faisant preuve de beaucoup de foi et de patience.

Inviter :
Une fois que nous avons trouvé une personne ou une famille, invitons-les à découvrir l’Évangile. Cela ne commence pas forcément en les invitant à écouter les missionnaires. Nous pouvons commencer en leur donnant quelque chose à lire, à écouter ou à regarder. Ou invitons-les à une veillée, une activité ou un projet de service. Servons-nous de la technologie et de toutes les ressources disponibles sur les réseaux sociaux pour lancer des invitations. Une fois que nous sommes plus à l’aise, nous pouvons leur proposer de rencontrer les missionnaires.

Aider :
Tout le monde n’acceptera pas l’Évangile immédiatement et beaucoup de personnes auront besoin d’aide. Il n’est pas compliqué d’apporter de l’aide : les principes d’amour et de service donnent de très bons résultats.

Demander aux autres de s’impliquer :
Nous avons tous besoin de nous impliquer avec davantage de personnes lorsque nous apprenons quelque chose de nouveau. Vivre l’Évangile de Jésus-Christ est une bénédiction remarquable, mais pour beaucoup de gens cela représente un changement énorme ou difficile. Lorsque d’autres personnes s’impliquent pour aider les gens à apprendre et à accepter l’Évangile, cela les encourage à aller de l’avant.

Ressentir de la joie :
Le Sauveur a dit : « Souvenez-vous que les âmes ont une grande valeur aux yeux de Dieu. […] Et si vous travaillez toute votre vie à appeler ce peuple au repentir et que vous m’amenez ne fût-ce qu’une seule âme, comme votre joie sera grande avec elle dans le royaume de mon Père ! » (D&A 18:10, 15)

J’ai une confiance totale dans les promesses que le président Monson a faites et je suis heureux que nous soyons tous impliqués dans cette œuvre magnifique. J’aime être missionnaire. J’aime faire connaître l’Évangile et j’aime penser à la joie que nous procurons à notre Père céleste et à son fils, Jésus-Christ, lorsque nous participons pleinement dans cette grande œuvre.